NOM(S) ⁂ De Lagardère PRÉNOM(S) ⁂ Au choix DATE ET LIEU DE NAISSANCE ⁂ Née à Buckingham ÂGE ⁂ 22 ans STATUT ⁂ Célibataire MÉTIER(S) ⁂ Mousquetaire AVATAR ⁂ Logan Lerman GROUPE ⁂ Mousquetaire CARACTÈRE ⁂ Protecteur ◮ Confiant ◮ Sympathique ◮ Bagarreur ◮ Prudent ◮ Courageux ◮ Stratège ◮ Têtue ◮ Drôle ◮ Intelligent ◮ Dynamique ◮ Audacieux ◮ Intrépide ◮ Aventureux. CRÉDITS ⁂ Tumblr&Bazzart

I HAVE TELL ME A STORY

⁂ xx est né à Buckingham, lui et sa famille ont toujours était très proches du Duc, ils lui ont jurés fidélité et ils ne sont pas prêt de changer de camp. Son père pourrait vous contester pendant des heures les innombrables qualités du Duc. Pourtant, dans chaque famille il y a toujours un enfant qui fait défaut, ici c'est xx. Il trouve le Duc sans qualité, cruel et sans pitié, il n'aime pas sa manière d'être et le fait d'écraser les autres pour sa réussite personnelle lui déplait fortement. Il a toujours était à l'écart de ce monde de cruauté et de pouvoir, pourtant il n'a jamais contredit son père.
⁂ Lorsque les mousquetaires sont morts, tués par le Duc, ce fut pour xx la goutte qui fit déborder le vase. Il désire alors devenir mousquetaires et montra de réels aptitudes pour ce métier, le Duc voulait en faire son mousquetaire, mais xx n'était pas d'accord ce qui engendra de terribles disputes avec sa famille. Son père voulait qu'il soit à la botte du Duc, qu'il le suive, le protège et lui prête allégeance. Mais le jeune homme n'a pas approuvé.
⁂ lorsque le Duc à emménagé à Paris, xx a vu en Louis une porte de sortie. Au départ hésitant il rencontra alors Aélis par hasard, il décida de se confier sans savoir qui elle était et la jeune femme lui servit des paroles pleines d'assurance et de confiance, inconsciemment elle venait de le convaincre de rejoindre la cour de Louis, il lui en fut très reconnaissant. Dès qu'il rejoignit les mousquetaires, la guerre avec son père commença, celui-ci se mit à le haïr et il fut rejeté par sa famille, malgré tout ce qu'il montrait, xx était terriblement torturé à l'intérieur de voir sa famille en guerre avec lui, lui qui avait toujours était proche de ses soeurs, de sa mère et qui aujourd'hui ne lui prêtent plus un seul regard. Par la suite, il n'avait plus qu'une envie, retrouver celle qui venait de lui rendre sa liberté, elle n'en était pas consciente, mais il voulait la remercier.

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Tous les deux se sont rencontrés par hasard, xx cherchait une oreille bienveillante pour l'écouter et Aélis était là. Il lui a confié ses doutes et ses inquiétudes à rejoindre Louis et sans le savoir la jeune fille lui a servi des paroles qui ont convaincu le jeune homme de rejoindre la cour du Roi. Peu après, il décida d'aller la retrouver afin de lui exprimer sa reconnaissance et en échange la jeune femme lui à réclamait de lui apprendre à manier l'épée. Au début, hilare il refusa, xx voyait en Aélis qu'une jeune femme trop douce et trop fragile pour manier l'épée ou survivre dans ce monde. Pourtant, elle a insisté et il a fini par acceptait, convaincu qu'elle abandonnerait, mais elle ne le fit jamais. Elle montra un réel entrain et une très bonne capacité à se battre ou à manier les armes il en fut bien étonné et avec le temps xx pu découvrir en elle une femme forte, combattante et bien qu'à l'air doux comme un agneaux elle était en vérité une vraie lionne qui n'hésitait pas à provoquer ceux qui osé lui marcher sur les pieds. Tous les deux ont apprirent à se connaître et Aélis a fait découvrir à xx la liberté, les interdits... Elle lui a fait prendre gout à la réalité lui montrant tout ce qu'il n'avait pas pu faire suite aux nombreux interdictions de son père. Ensemble, ils font les 400 coups et n'hésitent pas à franchir les limites de l'interdit. Xx lui, s'avère être très présent pour la jeune femme, en effet elle s'attire énormément d'ennuis à cause de son tempérament et autant dire que sans lui elle aurait souvent fini sur le bitume à deux doigts de la mort ou peut-être même pire, elle à beau être une bonne combattante elle ne fait pas le poids contre des hommes armés et elle ne se défile pas devant les mousquetaires ou gardes. Il est un peu son ange gardien pour elle et Aélis est tout ce qu'il a de plus cher à la cour du Roi. Ils se voient souvent, pour s'entrainer, pour s'amuser ou pour simplement parler tous les deux, mais peu à peu le temps passé ensemble se transformer en sentiments et Aélis refuse de les montrer, fuyant ce sentiment comme la peste. xx quant à lui a bien trop peur de détruire leur relation en lui dévoilant ses sentiments, alors tous les deux font comme s'ils n'étaient que des amis, très proches certes, mais seulement amis.

Toi et Galicïa, Galicïa et toi, ou les deux fortes têtes de la famille Lagardère. Depuis vos plus tendres années, vous n'avez cessé de rendre folle votre gouvernante. Elle et ses idées qui battaient crescendo, toi et ta tendance à faire exploser le tout. Elle l'aînée, toi le cadet, et pourtant à vous deux vous ne faisiez plus qu'un, plus qu'une seule âme, d’ailleurs votre entourage vous a toujours considéré comme des jumeaux, tu aurais aimé, ou pas. Parce qu'il faut bien se l'avouer, vos deux tempéraments ont toujours fait des éclats parmi les tristes mines de la cour, et tu t'es toujours amusé de cela, tout comme elle, même si les éclairs dans ses yeux ont toujours subsisté. Vous vous pourchassiez une épée en bois à la main, à celui qui fera capituler le premier, ton don à la manier était indéniable mais sa ténacité également. Vous vous acharniez, disputiez, après tout, il fallait le gagner ce défi, quoiqu'il advienne. Incroyable, disait-on, cette répartie qui fusait entre vous, cette provocation qui frôlait à chaque fois les cieux. Cette compétition ne vous rendez que meilleurs. Et puis, dur réveil. Vous n'étiez plus des enfants. Galicïa avait grandi, toi aussi. Elle était belle ta soeur, Ô oui. Et ces regards que tu surprenais te déplaisaient au plus haut point, d'ailleurs tu ne te privais pas de défier leurs auteurs avec ta fidèle et fine compagne. Elle te glaçait du regard, mais toi, tu étais fier, petit luron. D'autant plus, qu'elle ne restait pas longtemps à te bouder, après tout, qui ne pouvait te résister ? Mais sous ton admiration se cachait tes doutes. Sa soif d'ambition et de réussite sociale la rapprochait dangereusement de celui qui te rebutes, d'autant plus que son idéologie n'était pas la tienne. Tu volais voler de tes propres ailes, elle, elle détenait elle-même les clés de sa prison dorée. Et puis, tu es parti, chassé de ton nid. Oh, tu n'as pas reculé, ton père ne te comprenait pas, mais tu as hésité, pour elle. Elle a essayé de te retenir, tu t'en souviens, mais sa douce voix ne chantonnait pas la chanson que tu aurais souhaité. Tu es parti. Elle te manque, tu lui manques.